sottovoce

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La Malédiction de Chucky / Curse.Of.Chucky.2013.UNRATED.1080p.BluRay.x264-ROVERS

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The Amazing Spider-Man : Le Destin d'un héros / The.Amazing.Spider-Man.2.2014.KORSUB.720p.WEBRip.x264.AAC-JYK

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The Mirror / Oculus.2013.720p.BluRay.x264-YIFY

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Ses 6 commentaires

The Mirror

The Mirror

sottovoce Commenté par sottovoce (6) le

Miroir, miroir... Ce n'est pas moi dans ce miroir, c'est un double inversé, un double réfléchit de travers. Soigné, belle photographie, casting convaincant - Karen Gillan, actrice à suivre, avec un visage et des expressions qui évoquent les "screamin' queens" de l'horror d'antan façon Hammer Film - mais, mais, mais...l'histoire est tellement rebattue et manque tellement d'idées neuves, dramatiquement comme visuellement, que cet "Oculus" tourne en rond. La parti pris de la succession passé-présent fatigue vite. On sent le plaisir des auteurs à jouer au chassé-croisé visuel avec deux jeunes adultes et leurs versions enfantines mais ils n'en tirent en fin de compte qu'un procédé. L'histoire étant des plus limitées et le fameux miroir étrangement terne, sans présence - de même les tentatives assez vaines d'angoisse et de frissons - on ne peut que buter que sur l'évidente faiblesse du film : pourquoi passer une heure quarante-cinq pour illustrer sans grande imagination ce que le récit nous apprend en quelques dialogues et images dès les premières minutes et surtout pourquoi finir aussi lamentablement par un truc que l'on voit arriver dès les préparatifs de la chasse aux fantômes. Non décidément, les auteurs d'Oculus ont vraiment besoin de consulter un oculiste !

SOTTOVOCE (opticien presbyte)

2.5 / 10
Chambre 1408

Chambre 1408

sottovoce Commenté par sottovoce (6) le

"Room Sevices"

L'affiche ne m'inspirait pas. Quand on voit deux grosses têtes d'acteurs et le titre, ça éveille ma méfiance. Ensuite "tiré d'une nouvelle de Stephen King"... Encore !!! Ce type doit écrire pendant son sommeil, c'est pas croyable ! Bref, il m'a fallu du temps pour surmonter mon manque absolu d'intérêt et me décider à affronter cette chambre de vieil hotel new-yorkais.
Le meilleur du film ? : ce site qui m'a donné l'opportunité de trouver les sous-titres en VO de la director's cut. Le pire du film ? Le film. Bienvenue dans l'univers des poncifs du genre "lieu hanté". On devrait interdire aux scénaristes (et aux écrivains) d'utiliser le cliché du romancier-qui-va-pas-bien-depuis-que-sa-petite-fille-est-morte-et-que-son-mariage-a-foiré-du-même-coup. C'est chiant. De même, l'autre cliché qui consiste à présenter un expert en occulte qui sait bien que les fantômes n'existent pas jusqu'au jour où Stephen King lui prouve le contraire. C'est encore plus chiant. D'autre part, les mauvais scénaristes ont le chic pour partir d'un lieu - ici, une chambre d'hotel - et de définir les péripéties à venir en fonction des éléments du décor : fenêtre, tableaux, réveil,conduit d'aération, etc. Bizarrement, rien ne sort de l'armoire. Une première avec Stephen King ! Pas vraiment un scénario de film. Plutôt une attraction style Disneyworld, du genre : "Venez visitez la chambre de l'horreur" ou bien un jeu dans lequel un clic de souris sur un coin de mur fait scintiller la lampe de chevet. Spoooooky...
John Cusack fait son possible mais n'arrive pas à transmettre grand chose. Après une trop longue scène d'exposition, l'acteur passe de l'état blasé et cynique à une trouille disproportionnée dès la première fenêtre qui lui tombe sur la tronche. Samuel L. Jackson, quant à lui, tente de compenser son peu de temps à l'image en surjouant à chaque apparition. Il n'est même plus capable de prendre un simple objet sans rouler des yeux et faire des mines comme le pire acteur débutant. Bien. Mais est-ce que cela fait peur au moins ? Eh bien.... euuuh... peut-être si vous avez dix ans et dix jours et que vous vous êtes fait pipi dessus après avoir vu un épisode de Scoubidou. Dans la famille des "lieux hantés", autant voir et revoir les récents films de James Wan (Conjuring, Insidious) que ce huit-clos six fois trop long pour une aussi petite intrigue.
Ou alors vous avez toujours le motel Bates en sortant de Phoenix. Les lits sont un peu durs mais les salles de bains sont propres et le tôlier très prévenant.

1.5 / 10
The Amazing Spider-Man : Le Destin d'un héros

The Amazing Spider-Man : Le Destin d'un héros

sottovoce Commenté par sottovoce (6) le

Marc Webb porte définitivement bien son nom. Son précédent Spider-Man avait réussi à dépasser la trilogie précédente fort bien illustrée par Sam Raimi au point de répondre avec succès à la question que tout le monde se posait : "Pourquoi refaire un Spider-Man ?". (Oui, aussi pour le fric, évidemment. Mais ça c'est dans l'ordre des choses de ce genre de productions) Dans cette seconde aventure, il maintient le cap en conservant le ton du premier avec de nouveaux scénaristes. A la fois très fidèle au Spidey du comic - le côté vanneur de l'Araignée est parfait - et plus en phase avec l'époque, moins sucré, moins pré-ado que la première trilogie, THE AMAZING SPIDER-MAN 2 a tout ce qu'il faut pour enchanter les fans de comics à l'écran comme ceux des films d'aventures en général. Malheureusement, à force de surenchérir sans cesse dans les scènes d'actions spectaculaires, cette suite perd quelque chose de la force du premier. Tous les ingrédients y sont mais à vouloir trop épater avec des séquences spectaculaires, on finit par perdre la mesure nécessaire pour obtenir une réelle efficacité. Cela en devient parfois presque une abstraction. Ainsi l'affrontement final, partie la plus faible du film, additionne tellement les CGI et le sur-découpage visuel que le combat entre Spidey et Electro ressemble à une partie de jeu de console sous amphètes à Las Vegas. La naissance tardive du second vilain et la surcharge d'éléments qui illustre son affrontement avec le super-héros font pratiquement tomber à plat ce qui devait être le clou du film. Très dommage... Enfin, on ne va pas jouer les J.J. Jameson pour autant ! Dans ce torrent d'adaptations de supers qui déferle et donne tant de films ineptes et ratés, après un dernier volet de Batman affligeant et un Superman tellement paumé qu'il ne retrouve même plus son slip dans les cabines téléphoniques, Spider-Man est de très loin le plus à la hauteur...de la toile.

6 / 10
Under the Skin

Under the Skin

sottovoce Commenté par sottovoce (6) le

Pourquoi faire simple quand on peut faire faussement compliqué. Dans cette intrigue de sci-fi qui tient en une seule ligne et qui pouvait être traitée en 75 minutes ou moins, Jonathan Glazer prend de la hauteur et tire sur l'élastique. Un film qui fait se pâmer l'ensemble de la critique française (ou presque)et qui provoque la transe des "Cahiers" comme de "Made Movies", ça mérite tout de même que l'on y jette un œil. En fin de compte, excepté le constat tristounet d'une critique professionnelle toujours plus consensuelle et médiocre, qu'en est-il au juste de ce "film ovni" ? La première partie, ennuyeuse et molle au possible, ne fait que répéter la même situation pendant trois quarts d'heure. C'est mou. C'est lent. C'est sombre. Ça fait son important mais ne mène pas bien loin. En substance comme en illustration, pas grand chose à voir et guère plus à entendre, hormis une bande sonore irritante autant que basique. La seconde partie est meilleure (il se passe enfin quelques petites choses !) et trouve en ses meilleures séquences des réminiscences du Godard "d'avant la tombe". Certains passages rappellent la manière de "Prénom Carmen", "Sauve Qui Peut", "Je Vous Salue Marie". Mais comme Glazer est limité, on en vient à regretter que ce sujet ne soit pas tombé entre les mains du cinéaste franco-suisse dans les années 80 qui aurait certainement su en faire quelque chose de moins simplet. Bref, tout ce concert d'éloges pour ce petit film assez soporifique et finalement prétentieux, me parait assez délirant. Où alors serait-ce parce que Miss Johansson s'y dénude complaisamment ? Pas impossible. Mais là, je laisse l'appréciation aux amateurs de la mignonne, ne trouvant personnellement à cette actrice qu'un charme lointain de "girl next door" qui a eu beaucoup de chance. En résumé, un film que je ne risque pas d'avoir...dans la peau.

2.5 / 10
La Malédiction de Chucky

La Malédiction de Chucky

sottovoce Commenté par sottovoce (6) le

Don Mancini, le créateur de Chucky, a de la suite dans les idées. Mais a-t-il suffisamment d'idées pour ses suites ? Après avoir abandonné le frisson au profit de l'humour noir et du second degré quasi parodique dans les deux précédents volets (La fiancée de Chucky, le fils de Chucky), le papa de la poupée la plus tordante et tordue du cinéma fantastique revient ici à son film d'origine. Le résultat tient autant du faux remake que d'une préquelle de pure forme, histoire de prétendre avoir quelque chose de neuf à raconter ou à filmer. Pourtant, en cette décennie marquée par des remakes creux, tous plus mauvais les uns que les autres (Texas Chainsaw, Carrie, Nightmare on Elm Street), on prendra plaisir à voir ce petit "Cauchemar" qui malgré son manque d'originalité et d'idées est réalisé avec soins et propose un (presque) face à face entre Dourif père et fille. Réchauffé donc, mais néanmoins sympa.

4 / 10
11

11

sottovoce Commenté par sottovoce (6) le


Désappointé. A la fois prometteur et décevant. La première partie se regarde agréablement. On suit Timothy Gibbs (sorte de synthèse de Mel Gibson et Patrick Troughton !) avec intérêt en pensant que ce que promet le scénario va déboucher sur quelque chose de velu. Ben non. Ca pique du nez. Vagues réminiscences des morts-vivants des films de Amando de Ossorio..? En plus le personnage principal passe un peu trop facilement de "Dieu est mort" à "...mais il m&39;a confié une mission". Tout de même, un film inattendu de la part d&39;un des réalisateurs de la série "Saw" qui se sent malheureusement obligé de nous faire une série de flash-backs à l&39;attention de ceux qui auraient oublié que, qui, quoi, qu&39;est-ce. Sauf que là...ce n&39;était vraiment pas la peine !

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