Bien qu'il soit un auteur réputé de romans d'épouvante, Mike Enslin n'a jamais cru aux fantômes et aux esprits. Pour lui, la vie après la mort n'est que pure invention, et il a passé suffisamment de temps dans des maisons hantées et des cimetières pour le vérifier...
En travaillant sur son dernier ouvrage, il découvre l'existence d'une chambre, la 1408 du Dolphin Hotel, où se sont produites de nombreuses morts inexpliquées et souvent violentes. Malgré les mises en garde du directeur de l'hôtel, Enslin décide d'y passer une nuit.
Face à ce qu'il va vivre, son scepticisme va voler en éclats. Pour lui, la question n'est plus de savoir si le paranormal existe, mais d'espérer survivre à la nuit de tous les cauchemars...
Date de sortie en France :
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L'avis des membres
Il y a 1 commentaire pour le film #1665 !Le commentaire de sottovoce
"Room Sevices"
L'affiche ne m'inspirait pas. Quand on voit deux grosses têtes d'acteurs et le titre, ça éveille ma méfiance. Ensuite "tiré d'une nouvelle de Stephen King"... Encore !!! Ce type doit écrire pendant son sommeil, c'est pas croyable ! Bref, il m'a fallu du temps pour surmonter mon manque absolu d'intérêt et me décider à affronter cette chambre de vieil hotel new-yorkais.
Le meilleur du film ? : ce site qui m'a donné l'opportunité de trouver les sous-titres en VO de la director's cut. Le pire du film ? Le film. Bienvenue dans l'univers des poncifs du genre "lieu hanté". On devrait interdire aux scénaristes (et aux écrivains) d'utiliser le cliché du romancier-qui-va-pas-bien-depuis-que-sa-petite-fille-est-morte-et-que-son-mariage-a-foiré-du-même-coup. C'est chiant. De même, l'autre cliché qui consiste à présenter un expert en occulte qui sait bien que les fantômes n'existent pas jusqu'au jour où Stephen King lui prouve le contraire. C'est encore plus chiant. D'autre part, les mauvais scénaristes ont le chic pour partir d'un lieu - ici, une chambre d'hotel - et de définir les péripéties à venir en fonction des éléments du décor : fenêtre, tableaux, réveil,conduit d'aération, etc. Bizarrement, rien ne sort de l'armoire. Une première avec Stephen King ! Pas vraiment un scénario de film. Plutôt une attraction style Disneyworld, du genre : "Venez visitez la chambre de l'horreur" ou bien un jeu dans lequel un clic de souris sur un coin de mur fait scintiller la lampe de chevet. Spoooooky...
John Cusack fait son possible mais n'arrive pas à transmettre grand chose. Après une trop longue scène d'exposition, l'acteur passe de l'état blasé et cynique à une trouille disproportionnée dès la première fenêtre qui lui tombe sur la tronche. Samuel L. Jackson, quant à lui, tente de compenser son peu de temps à l'image en surjouant à chaque apparition. Il n'est même plus capable de prendre un simple objet sans rouler des yeux et faire des mines comme le pire acteur débutant. Bien. Mais est-ce que cela fait peur au moins ? Eh bien.... euuuh... peut-être si vous avez dix ans et dix jours et que vous vous êtes fait pipi dessus après avoir vu un épisode de Scoubidou. Dans la famille des "lieux hantés", autant voir et revoir les récents films de James Wan (Conjuring, Insidious) que ce huit-clos six fois trop long pour une aussi petite intrigue.
Ou alors vous avez toujours le motel Bates en sortant de Phoenix. Les lits sont un peu durs mais les salles de bains sont propres et le tôlier très prévenant.