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@2023-fairyland, film produit par Fairyland est une belle surprise. Il réussit à être bouleversant l'air de rien, délicatement, de façon impressionniste, avec des ellipses qui allègent le régit . Le maître mot est simplicité. De la justesse qui va droit au cœur. Le SIDA fait partie d'une relation compliquée entre un père qui élève seul sa fille seul. La maladie arrive l'air de rien , à son heure. Le génirque de fin se déroule. Les larmes coulent, sans pathos théâtral. Heureux de découvrir une si jolie surprise. #emilia-jones ira loin. Bref, foncez !
Un OFNI. Un pur plaisir de spectateur emporté dans un doux rêve éveillé burlesque, suréaliste, mystique qui joue avec les codes et le genre. Une cinématographie inventive. Le chef op est celui de Aki Kaurismäki. Le film est magnifique à voir. Buenos Aires est tellement cinégénique. La bande son très travaillée va faire exulter votre système HOME CINEMA. il ne faut pas chercher à comprendre mais se laisser emporter. Une fin abrupte à la Cocteau comme lorsque l'on veut sortir d'un cauchemar. Les acteurs sont à leur place. Nahuel Pérez Biscayart est intense, fascinant et hypnotique. Je ne me suis jamais ennuyé. Bref, du plaisir sensoriel, accessible à ceux qui ne sont pas rationnels. Belle re-découverte d'un cinéaste argentin (son L'Ange en 2018 m'avait déjà séduit) intrigant et très personnel à suivre.
Superbe songe éveillé classique mais inspiré. Grande maîtrise formelle avec des moments d'extase visuelle (L'attente du fiacre dans la forêt !!...) . Des hommages à Murnau et à Herzog parfois maladroits (La main qui monte vers la chambre d'Ellen ni fait ni à faire, la peste moins impressionnante que chez Herzog...). Jeu des acteurs souvent grand-guignolesque mais qui ne me gène pas. Lily-Rose Depp porte le film avec une force et justesse tout simplement mémorables, Nicholas Hoult impeccable, Dafoe décevant car trop caricatural dans un surjeu qui reste dans les clichés du genre. Dommage qu'il y ait des problèmes de rythme et que le comte Orlok soit quasiment toujours dans l'ombre. Du cinéma magique avec quelques réserves. On est à deux doigts du chef-d'œuvre. Bref, un film envoûtant passionnant, à admirer et à revoir.
Un film raté, mou à l'extrême. Un ennuyeux océan de guimauve. Les scènes avec le génial BOB FOSSE, en serpent du désert, sauvent cet navet de l'oubli. Mais où est donc passé le réalisateur de "Chantons sous la pluie" et de tant d'autres merveilles ?!. Tristesse. Bref: une purge.
Un excellent documentaire, dense, riche en archives rares et en émotions, que je conseille à tout amateur de musique de film et de musique en général. Comme d'habitude, Laurent Bouzereau (célèbre pour ses making-of) révèle son immense talent d'humilité au service des créateurs du cinéma. Ne ratez pas ce film qui, avec le ENNIO de Giuseppe Tornatore, est un modèle du genre.
Une merveille